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Affichage des articles du 2025

Éric Zemmour est un rustre et un homme de faible intelligence

Le triste Éric Zemmour a été définitivement condamné par la Cour de cassation pour avoir balancé à la téloche à Hapsatou Sy, très belle femme au demeurant : "C'est votre nom qui est une insulte à la France".  Ses avocats, qui n’ont pas craint le ridicule (ce qui est ridicule en soi), se sont retranchés derrière la liberté d’expression et le débat public d’intérêt général… C’est comme si vous renversiez quelqu’un sur un passage clouté et que vous plaidiez la liberté de circulation et l’intérêt d’ouvrir un débat sur la sécurité routière. Bref. Notons surtout qu' Hapsatou sonne mieux qu' Éric qui fait penser à un modèle de meuble Ikéa, ou au bruit que fait un pantalon qui craque à l'entrejambe.  Notons aussi que Zemmour est un berbère revendiqué, que l'on appelle Moïse à la maison, et qui porte un prénom scandinave qui suinte le paganisme. Avec tout ça, il demande aux minorités plus ou moins visibles de France d'effacer leurs singularités dans le « mou...

Haro sur le chat, véritable instrument du démon

Le chat est le fruit des entrailles de l'enfer et la manufacture du diable. Petit, mignon, vif et l'oeil chatoyant, il siphonne l'attention des jeunes couples, faisant que cette génération se passe de la procréation. Ces jeunes païens sont pareils aux égyptiens  anciens  qui se font chaparder leurs élans amoureux par une bestiole au poil doux. Il leur en faut peu pour obtenir leurs bonnes grâces ! Pour susciter les soins de l'amour maternel, il  suffirait de miauler et d'avoir une tête de pokémon rare ! Ce qui est particulièrement répréhensible, c'est de se laisser chapeauter par ce  mammifère domestique et de l' appeler "mon fils" ou "fifille". C'est oublier que cet animal n'a aucune charité. C'est un tueur né, qui chasse pour le plaisir et collectionne les dépouilles d'oisillons et de rongeurs comme des trophées.  Oui, le chat est Predator. Le malin a toutefois déployé toute son industrie pour dessiner un antagoniste à q...

(ARTICLE INVITÉ) - Défense de l’avocat pénaliste

 Réponse à l'article précédent  Défense de l’avocat pénaliste (sera suivie de : Illustration de l’avocat pénaliste ) Qu’un avocat s’en prenne ainsi, sous couvert de justice, à ses propres confrères, voilà qui devrait choquer, me semble-t-il, même ceux qui sont étrangers à la profession. Cette attaque, de plus, menace même la base sur laquelle repose ce métier, ou plutôt cette vocation : ainsi, maintenant, parce qu’un avocat défend un criminel, il en devient un lui-même ! Autant condamner les tribunaux ; à ce compte-là, abandonnant l’idée même de justice, autant livrer l’accusé à la vindicte populaire, à la foule emportée qui se chargera, de façon affreuse et sanguinaire, de châtier celui qu’elle a déjà condamné avant de l’entendre. Oui, vraiment, il faut un culot qui dépasse les bornes, pour attaquer ainsi un principe fondamental de l'État de droit, inscrit au fronton des Constitutions et des conventions internationales ! À moins qu’il ne s’agisse, ici...

De la perversion de la pratique du droit pénal

L’avocat en droit pénal est complètement vendu au mal. Il se consacre, littéralement, corps et âme aux démoniaques pour glorifier son propre égo, ce qui fait de lui-même, in fine , un démoniaque. Il est celui qui se retranche derrière le « droit de tous à être défendu », ce qui fait de lui, tout aussi, un hypocrite. Mais en justifiant ainsi son engagement, il revendique en vérité - et pour lui-même - le triple droit : - de pratiquer une matière qui nécessite peu de connaissances théoriques (l’essentiel des réformes concernent la procédure pénale, et ce sont les délais et le formalisme qui, bon an mal an, changent sensiblement ) - ainsi, le pénaliste applique une science sans mouvement, tirée d’une suite de mots et d’injonctions qui ne suscitent plus aucune réflexion (exemple : qu’entend la loi, au sens de l’article 144 du code de procédure pénale, quand elle parle de « menace à l’ordre public » pouvant justifier d’une détention provisoire ? - même les magistrats ont renoncé à répondre ...

L’avocature n’est pas un sacerdoce

L’avocature n’est pas un sacerdoce, c'est même un sacrilège.  La profession est sortie de la cote de la sainte  Église catholique ; si bien qu' au XIIIème Siècle,  Philippe le Bel consacra un corps de métier devant jurer sur les Évangiles et d'aider gracieusement la veuve et l’orphelin.  À présent, la gloire de la plupart est  de dégobiller  en cour d'assises  la plaidoirie la plus longue, sans vraiment considérer sa pertinence ; ou de  défendre le trafiquant dont la performance est évaluée au tonnage de ses importations (devant alors changer de vocation, puisqu'il finira au trou). À présent, nous jurons sur la très peu sacrée loi républicaine, en ce qu'elle proclame une quintuple abstraction : « je jure d’exercer avec dignité, conscience, indépendance, humanité et probité ».  C'est vague.  Ici, chaque mot est une déesse hécate, une polysémie en règle où l'acception de chaque terme varie selon les époques ; et cette allitération en « é »...

Douce possession

Sa lueur est diaboliquement caressante. Son regard pétille. Sa voix est douce et d’un timbre innocent. C’est une petite femme typique qui vous arrive poussivement à l’épaule. Elle est délicatement habillée, d’un haut rayé blanc et noir, qui laisse ses épaules et ses bras nus, mais qui ne laisse rien voir de sa poitrine, sauf deux petites formes rondes et d’une jolie proportion. Rien ne laisse entendre à cet instant que l’affaire serait découverte. Toutefois, vous n’avez d’yeux que pour le visage de cette beauté latine et légèrement dorée, comparable à ces mannequins que l’on aimerait posséder. Puis flattés par la douce brise du soir, foulant une terre qui vous est étrangère, un verre de vin, puis un deuxième. Un vendeur de roses passe. Vous l’éconduisez par un réflexe typiquement parisien. Elle fait la moue. Vous achetez une fleur. Elle n’est pas de cette culture défiante qui voit les faveurs données à son sexe comme des outrages à sa dignité. Elle n’a pas l’orgueil de la « nouvelle fé...

Le conflit des murmures ; ou le combat intérieur du bien contre le mal

Autres méditations et observations, sans aucune valeur pédagogique Le mal et le bien bruissent à tour de rôle dans les oreilles humaines. Les théologiens peinent à définir ce phénomène. Le mal serait dicté par les déchus, non pas avec des mots, des expressions ou des verbes, mais avec des ondes, des bruissements ou  avec une urgence diabolique selon  Saint Jean-Climace.  Le bien, quant à lui, serait un  ressenti lumineux selon  Syméon le Nouveau Théologien.  Déceler le bien du mal est donc un attribut fondamental de l'intelligence, et contrairement à ce que nous rabâche notre époque, ce n'est pas un exercice enfantin ; et vouloir se situer "au-delà du bien et du mal" n'est pas un désir de liberté, mais un désir, ou plutôt un délire, de se jeter corps et âme dans les bras du diable.  Ainsi, dans nos faiblesses, celui-ci peut nous murmurer :  - "tes possibilités sont infinies, tu ne vas pas te priver..." (la Cour d'assises est engorgée de gens qui o...

Peut-on vraiment porter la Croix en pendentif ?

Méditation personnelle, sans aucune finalité pédagogique Peut-on porter "autour du cou" la Sainte Croix, celle montrant le Christ crucifié, sans même heurter le Ciel ? Certainement pas, puisque le Christ a appelé ses suiveurs à porter la Croix et à suivre ses pas :  «  Alors Jésus dit à ses disciples: Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive  ».  ( Matthieu 16,24) Ce qui implique un changement de vie radical :  « Ce n’est plus moi qui vis, mais le Christ qui vit en moi. » ( Galates 2,20). Cependant, le Ciel serait blessé que le porteur vive comme un mondain, se mette des mines, s'assourdît de mauvaise musique, ou passe encore son temps à se disputer ou à se vanter sur internet, ou qu'il le passe encore à  "enchaîner les relations"... En l'espèce, l'âme de ce catholique d'apparat se disperserait en petites flammèches, car elle brûlerait à feu doux, et à un rythme qu...