Mes excuses à Elon Musk ; ou le panégyrique d'un contrit
Après une diatribe plus salée que les quatre mers, je souhaitais présenter mes plus âpres regrets à Elon Musk (ainsi qu’à toute sa très sainte et très digne communauté). Il y a peu, j’eus le tort d’affubler Monsieur Musk de vilains quolibe ts ; « d'infâme » et de « coquin », de « rat musqué », « d'animal sans pattes », de « vigoureux flibustier », de « saltimbanque de clocher », « d’amuseur de cabaret », de « pontife du boniment », et également de « serpent vertébré », de « drôle », de « subtil colimaçon », de « fumier chimiquement pur », de « semi-lapin de garenne », de « fils de pute à la mode », de « galante de la finance », « d’eunuque des hôtes de ces bois », « d'ultime chien maigre devant l’Éternel »... Aussi reprocherais-je à Elon Musk d’être le sodomite des petits porteurs. Mais si l’Autiste lumineux manipule les cours des cryptopièces (et plus récemment le c...