Éric Zemmour est un rustre et un homme de faible intelligence
Le triste Éric Zemmour a été définitivement condamné par la Cour de cassation pour avoir balancé à la téloche à Hapsatou Sy, très belle femme au demeurant :
"C'est votre nom qui est une insulte à la France".
Ses avocats, qui n’ont pas craint le ridicule (ce qui est ridicule en soi), se sont retranchés derrière la liberté d’expression et le débat public d’intérêt général…
C’est comme si vous renversiez quelqu’un sur un passage clouté et que vous plaidiez la liberté de circulation et l’intérêt d’ouvrir un débat sur la sécurité routière.
Bref.
Notons surtout qu'Hapsatou sonne mieux qu'Éric qui fait penser à un modèle de meuble Ikéa, ou au bruit que fait un pantalon qui craque à l'entrejambe.
Notons aussi que Zemmour est un berbère revendiqué, que l'on appelle Moïse à la maison, et qui porte un prénom scandinave qui suinte le paganisme. Avec tout ça, il demande aux minorités plus ou moins visibles de France d'effacer leurs singularités dans le « moult républicain ».
Ce desiderata est si plein de contradictions que le sujet mériterait un examen psychiatrique :
- comment avoir une idée concrète de la France en la réduisant à une république, pauvre forme de gouvernement, qui n’est qu’un concept juridique ?
- comment penser la France et toucher son âme en la réduisant à une suite de faits historiques, comme il le fait dans son Mélancolie Française, et à quelques auteurs de l’époque post-révolutionnaire, Rousseau, Balzac, Flaubert et Voltaire ?
- Comment peut-il avoir tant de zèle pour la France sans être lui-même catholique, ni en songent à prendre un prénom d’un saint du calendrier, comme le fit son bon ami, néanmoins tout aussi grossier, Jean Messiha (le foutrement mal nommé) ?
Le fait est que son zèle ne vient pas du coeur, mais de la haine orgueilleuse qu’il tient contre les enfants d’immigrés.
Il n’est pas non plus chrétien (et c’est manquer beaucoup de choses !), car il n’est pas libre d’esprit, et rappelons qu’il n’est jamais :
a. qu’un chroniqueur du Figaro qui séduit les bobos de droite acculturés avec un style pédant ;
b. qu'un commentateur professionnel qui vit aux dépens et de la vitalité des autres ;
c. qu’un journaliste sur-protégé, payé par un organe de presse subventionné par l’État, qui a pris le créneau de la « droite dure » pour faire carrière et pour jouir d’un autre cadre que celui de son Montreuil natal ;
d. qu’un rustre en habits de ville, mais avec des manières de pourceau - et à lui seul, il défait l’idéal de « l’assimilation », puisque qu’il répand le cliché racial du berbère misogyne et qu’il a un casier judicaire… comportant au moins trois mentions. Se faisant, il est moins honorable que le « sans pap’ » ou « l’OQTF » qui se lève à 5 heures pour s’y filer sur le chantier (et j’en connais pas mal).
Alors prenons Zemmour pour ce qu’il est : le premier des hypocrites et le dernier des idéologues, et ce n’est pas pour rien qu’il est nommé le « Z », puisqu’il est condamné à demeurer en bas de la liste des célébrités oubliées.
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